« Si, de
ta bouche, tu reconnais Jésus comme Seigneur, et si tu crois dans ton cœur que
Dieu l’a ressuscité d’entre les morts, tu seras sauvé. Car du cœur on croit
pour la justice, et de la bouche on en fait la déclaration pour le
salut. » Ro 10:9-10
« Celui
qui dit : “Je le connais,” et qui ne garde pas ses commandements, est
menteur, et la vérité n’est pas en lui. » 1Jn 2:4
Il ne suffit pas de
reconnaître que Jésus est Seigneur de l’univers, mais d’avoir personnellement,
intimement et sans réserve la conviction que Jésus est notre maître et
souverain, et de le déclarer.
Peut-être osons-nous
seulement avouer que nous connaissons Jésus, alors que nous devrions le
proclamer comme celui qui a autorité sur nous, par nos paroles, mais aussi par
notre comportement.
Car il est important
qu’il y ait une harmonie complète entre ce que nous pensons ou ressentons, ce
que nous disons et ce que nous faisons.
Si je proclame que
mon Seigneur est tout-puissant et qu’il est pour moi un bon berger, je ne peux
en même temps me montrer inquiet, troublé ou agité par les circonstances que je
traverse.
Si je dis que je
connais l’amour du Seigneur, et si je l’annonce aux autres, comment puis-je,
sans me contredire, ne pas le témoigner à mon entourage, à commencer par ma
famille ou par mes frères et sœurs dans la foi ?
Si j’affirme, en
m’appuyant sur la Parole de Dieu, que le monde est hostile au Seigneur, puis-je
rechercher les honneurs qu’il offre ?
Si je déclare que
j’attends le Seigneur, qu’il va venir d’un jour à l’autre chercher les
croyants, puis-je m’acharner à accumuler les biens matériels ?
Jésus, notre
Seigneur, est notre exemple. Sa pensée n’allait pas au-delà de sa parole (Ps
17:3 : Si tu sondes mon cœur, si tu le visites la nuit, Si tu m’éprouves,
tu ne trouveras rien : Ma pensée n’est pas autre que ce qui sort de ma
bouche.) et il n’y avait aucun décalage entre ce qu’il disait et ce qu’il
était. À la question : « Toi, qui es-tu ? », il a
répondu : « Absolument ce que je vous dis » (Jn 8:25 : Qui
es-tu ? lui dirent-ils. Jésus leur répondit : Ce que je vous dis dès
le commencement.). Ses paroles étaient l’expression parfaite de ce qu’il
était lui-même.
Il ne s’agit pas de
se taire parce que nous sommes imparfaits, mais de mettre nos actes en accord
avec nos paroles et avec les enseignements du Seigneur.
C’est ainsi que nous
serons jusqu’à sa venue des témoins fidèles au Seigneur, vis-à-vis de tous,
croyants ou non convertis.
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