Ne vous
conformez pas à ce siècle ; mais soyez transformés par le renouvellement
de votre entendement, pour que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu,
bonne et agréable et parfaite. Ro 12:2
Le
« siècle » dans lequel nous vivons est régi par la volonté des hommes
qui ne tiennent aucun compte de celle de Dieu. Il en découle des raisonnements,
des habitudes, des manières de faire complètement ou partiellement opposées à
la pensée de Dieu. Cela se constate chaque jour davantage, au fur et à mesure
que diminue l’influence du christianisme dans notre société. Avant notre
conversion, nous nous conformions tout naturellement à ces usages.
Après sa conversion,
un chrétien va-t-il continuer à se laisser diriger par les mêmes principes de
vie qui offensent Dieu ? — Nullement, bien sûr ! Va-t-il
se doter d’une loi pour en respecter les règlements ? — Pas
davantage !
Non, il doit prendre
conscience qu’il n’est plus le même homme en croyant ce que dit la Bible à ce
sujet ; il a reçu la vie de Christ ; il est un « nouvel
homme » qui ne voit plus du tout les choses de la même manière
qu’avant : son entendement a été renouvelé. Le Saint Esprit travaille en
lui pour le faire avancer dans la connaissance de Christ.
Sa responsabilité,
c’est d’abandonner son ancienne manière de vivre et de penser, et d’agir
désormais en conformité avec ce qu’il est maintenant. Dès lors, il peut
discerner quelle est la volonté de Dieu pour l’accomplir : ce qui est bon
aux yeux de Dieu, ce qui lui plaît et ce qui est en parfaite harmonie avec ses
pensées.
Là encore, l’action
du Saint Esprit est primordiale à travers la lecture et la méditation de la
Bible, le contact intime avec Dieu par la prière, et, ne l’oublions jamais, par
la mise en pratique sans délai de ce que Dieu nous demande d’accomplir.
C’est ainsi que le
croyant est exhorté à présenter son corps, son être tout entier, en sacrifice
vivant, saint, agréable, à Dieu pour accomplir sa volonté et lui plaire à tous
égards : tout à fait le contraire de ce qu’il faisait avant sa conversion
lorsqu’il ne cherchait qu’à se plaire à lui-même en faisant n’importe quoi au
gré de ses convoitises.
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