mercredi 14 septembre 2022

« MOI, JE SUIS LE BON BERGER »



 « Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis » 

Jean 10:11 

   L’image du berger était familière aux Juifs ; elle décrivait notamment l’Éternel dans l’Ancien Testament, ainsi que le roi messianique représenté par David. Le bon berger connaît ses brebis qui le suivent. Il est aussi la porte de la bergerie. Jésus va maintenant expliquer l’analogie d’une troisième manière. Au crépuscule, en Palestine, le danger rôdait partout. À cette époque, il y avait de nombreux lions, loups, chacals, panthères, léopards, ours et hyènes dans les campagnes. 


   La vie d’un berger pouvait être menacée et certains perdirent leur vie à défendre leurs troupeaux. C’est ce qui va arriver à Jésus. Au début de son ministère, il fut aussi qualifié par Jean-Baptiste comme l’Agneau de Dieu. Le Seigneur assume les deux rôles. Dans le Nouveau Testament, il est également appelé le grand berger et le Chef des bergers.  



Hébreux 13:20  Que le Dieu de paix, qui a ramené d’entre les morts le grand pasteur des brebis, par le sang d’une alliance éternelle, notre Seigneur Jésus,

1 Pierre 5:4  Et lorsque le souverain pasteur paraîtra, vous obtiendrez la couronne incorruptible de la gloire.


À nous aussi, aujourd’hui, Jésus se présente comme le bon berger qui nous a inclus dans son troupeau. Nous le connaissons comme celui qui a mis sa vie pour nous, et nous nous réjouissons parce qu’il nous connaît chacun par notre nom, c’est-à-dire dans tous les aspects de notre être : notre origine, nos faiblesses, nos possibilités, nos sentiments et nos aspirations. Pour nous donner quelque mesure de la profondeur de cette connaissance, Jésus la compare avec la connaissance réciproque qui existe entre son Père et lui ; que pouvons-nous imaginer de mieux ? 


   Qu’attendons-nous d’un berger ? certes, les soins, la nourriture, l’affection, mais aussi et surtout la sécurité. Une brebis ne dispose d’aucune arme pour se défendre, et elle ne sait même pas courir pour se sauver. C’est pourquoi le Seigneur termine cet enseignement en nous donnant l’assurance que ses brebis ne périront jamais et que personne ne les arrachera de sa main. Sécurité supplémentaire : elles sont couvertes par la main du Père qui est plus grand que tous. 


      « Moi, je suis le bon berger : je connais les miens, et je suis connu des miens, comme le Père me connaît et moi je connais le Père ; et je laisse ma vie pour les brebis. » Jn 10:14, 15 


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