« Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils
unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie
éternelle. Car Dieu n’a pas envoyé son Fils dans le monde afin qu’il juge
le monde, mais afin que le monde soit sauvé par lui. » Jn 3:16-17
Un testament est un
document qui exprime les dernières volontés d’une personne. En particulier, il
désigne par nom la ou les personnes à qui elle donne ses biens après sa mort.
Il arrive que des
testaments soient perdus, ayant été abandonnés, enfouis parmi des documents
sans intérêt ou de vieux livres. C’est bien ce qu’est devenue la Bible pour
beaucoup d’hommes : un livre que l’on étudie pour son ancienneté, pour sa
forme littéraire, pour sa valeur historique … mais aucune parcelle
du message de Dieu n’est reçue.
Imaginons qu’en
feuilletant l’un de ces vieux documents, je découvre un testament qui porte mon
nom. Quelle stupéfaction ! Ce qui n’était jusqu’alors qu’un objet
quelconque prend un tout autre intérêt. Je pourrai dorénavant me prévaloir de
ce document pour demander que me soient attribués les biens qui me sont donnés.
Il en est ainsi de
la Bible. Elle est composée de deux testaments (ou alliances) : l’Ancien
et le Nouveau Testament. Dans l’A.T. que Dieu avait fait pour les Juifs,
beaucoup de bénédictions leur étaient promises, sous réserve d’obéissance. Mais
n’ayant pas obéi, ils ont tout perdu.
Dieu écrit alors un
« Nouveau Testament » ; cette fois, il est pour tous les hommes,
Juifs et non Juifs, parce qu’il est fondé sur Christ, sa mort expiatoire
d’abord (voir Hé 9:14-17), puis sa résurrection. Tout y est don de grâce.
Pour que je sois
bénéficiaire du Testament, il faut que mon nom y soit inscrit, bien
évidemment ! Émerveillé, je découvre qu’il en est bien ainsi. Dans le
verset du jour, j’ai le droit de mettre mon nom à la place de ce
« quiconque », et vous aussi. Dieu n’exclut aucun nom de son
Testament.
Ce Dieu généreux qui
a tant aimé le monde, que me donne-t-il sur la base de la mort de Jésus
Christ ? « La vie éternelle ». Je crois et accepte pour moi-même
un don aussi précieux ! Et je vais d’émerveillement en émerveillement en
lisant l’ensemble des promesses contenues dans le Nouveau Testament. Je
découvre que « celui … qui n’a pas épargné son propre
Fils … nous fera don, librement, de toutes choses avec lui » (Ro
8:32).
Oui, il doit m’aimer
Celui qui a fait un tel Testament !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire