lundi 22 janvier 2024

DIEU RECHERCHE DES MOISSONNEURS



      « Il dit à ses disciples : La moisson est grande, mais il y a peu d’ouvriers : suppliez donc le Seigneur de la moisson, pour qu’il pousse des ouvriers dans sa moisson. » Mt 9:37,38

 

   Le grand navigateur Tabarly a écrit à peu près ceci : « Pourquoi Dieu permet-il tant de misères et tant de méchancetés dans le monde ? » C’est aussi ce que beaucoup disent et ce que vous pouvez entendre de vos camarades : « Si Dieu existe, pourquoi permet-il les guerres, les meurtres, le massacre des enfants » Il faut, certes, leur répondre d’une manière compréhensible, sans employer un langage théologique, mais surtout saisir l’occasion pour témoigner de votre foi.

 

   Dîtes-leur, par exemple, qu’il serait plus juste, plus honnête que les hommes s’accusent eux-mêmes : « Pourquoi sommes-nous si mauvais, pourquoi faisons-nous tant de méchancetés aux autres ? » Dieu a beaucoup de patience envers l’humanité. S’il frappait immédiatement de mort tous ceux qui agissent mal, qui resterait sur la terre ? Tout homme est capable de commettre une méchanceté, au moins en pensée ou en parole, sinon en actes ; tout homme est donc sur le chemin de la perdition éternelle. Mais qui le dit, qui montre le chemin du salut ?

 

   Puisque vous êtes aussi envoyé par Jésus Christ (Jn 17:18), prêtez-lui votre voix ! Dieu n’a pas cessé d’embaucher. Depuis que Jésus a dit que la moisson est grande, la chose est devenue plus explicite. Il cherche des hommes, des femmes pour annoncer de sa part que Dieu aime les hommes, et que lui, Jésus Christ, est mort sur la croix pour que tous ceux qui croient en lui échappent à cette perdition éternelle.

 

   Dieu a inventé le blé, mais c’est à l’homme de labourer, de semer, de moissonner, etc. Donc, nous aussi allons sur le champ ! Il faut se décider et la décision se forme en général dans la prière. En nous mettant à l’unisson de pensée avec le Seigneur, nous pouvons, nous aussi, être émus de compassion envers les foules qui périssent comme aussi devant les individus dans la misère.

 

   Quelqu’un disait : « Prie comme si tout dépendait de Dieu ; Agis comme si tout dépendait de toi ».

 

   Le Samaritain qui allait son chemin ne s’est pas posé beaucoup de questions : quand il a vu l’homme à demi mort, il a agi par amour et il a sauvé cet homme.

 

   Paul encourage les Corinthiens au service : « Soyez fermes, inébranlables, abondant toujours dans l’œuvre du Seigneur, sachant que votre travail n’est pas vain dans le Seigneur » (1Co 15:58).

 

   Le Seigneur nous fait l’honneur de nous associer à son œuvre. Si nous ne voyons peut-être pas de résultats tangibles de notre travail, le Seigneur se sert de ce que nous faisons pour lui et le fait fructifier, n’en doutons jamais.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

TON CŒUR

        « Garde ton cœur plus que tout ce que l’on garde, car de lui sont les issues de la vie… » Pr 4:23         « Mon fils, donne-moi ...