« Tout cela, je vous l’ai écrit afin que vous sachiez que vous avez
la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu. » 1Jn 5:13
Douter des propos de
quelqu’un qui affirme clairement quelque chose, c’est, finalement, le suspecter
de mensonge.
« Tout cela, je
vous l’ai écrit afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui
croyez au nom du Fils de Dieu. » C’est une déclaration nette, précise, qui
peut être comprise par tous. Ne pas vouloir en reconnaître la vérité absolue
équivaut à traiter de menteur, d’imposteur celui qui l’a prononcée ! Un
peu plus tôt dans son épître, Jean écrit : « Ce que nous avons vu et
entendu, nous vous l’annonçons » (1Jn 1:3). Ne pas croire Jean, c’est
l’accuser d’être un menteur, dire qu’il ne parle pas au nom de Dieu
ou … pire, accuser Dieu de mensonge !
En fait, on croit ou
l’on ne croit pas, il n’y a pas de position intermédiaire ! Et pourtant,
dans la chrétienté, elles sont nombreuses les personnes qui doutent de leur
salut, qui « espèrent être sauvées » sans en avoir la certitude. Or
Dieu ne veut pas que nous restions dans l’incertitude. C’est pourquoi la Bible
est claire, sans ambiguïté:
ou l’on croit au nom du Fils de Dieu et l’on est sauvé
avec un avenir glorieux dans le ciel ;
ou l’on ne croit pas et l’on est dans ses péchés avec
devant soi un avenir entre les mains de Satan.
C’est
solennel !
Quel bonheur pour
l’enfant de Dieu, lavé dans le sang de l’Agneau, d’avoir cette certitude que
ses péchés sont ôtés à jamais et qu’une vie éternelle lui est donnée par
Dieu ! Pour le présent, cette certitude donnée par la foi en Jésus Christ
fait de lui un être qui trouve sa joie dans la lecture de la Parole, la prière,
la louange, la communion avec Dieu.
Quel bonheur de
pouvoir dire comme l’apôtre : « Je sais qui j’ai cru » (2Ti
1:12) et de pouvoir faire reposer cette certitude sur celui dont il est
écrit : « Certainement, lui, a porté nos langueurs, et s’est chargé
de nos douleurs … il a été blessé pour nos transgressions, il a été
meurtri pour nos iniquités ; le châtiment de notre paix a été sur lui, et
par ses meurtrissures nous sommes guéris » (Esa 53:4-5).
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