lundi 21 septembre 2020

IL FAUT BEAUCOUP DE FOI POUR ETRE ATHEE

 

Cette terre est à la fois un paradis et un enfer : le miracle du printemps, l’incroyable beauté des Alpes, le cœur d’une jeune fille amoureuse... Et en même temps, la prolifération des armes les plus diaboliques, du terrorisme et du crime organisé...

L’homme, avec ses progrès techniques, s’enfonce dans une impasse inextricable. Son unique espoir consiste à retrouver ses véritables origines. Image de Dieu ou image de la bête ? Fait pour aimer ou pour dévorer ?

On a dit, on a cru tant d’absurdités sur « Dieu ». Et pourtant ! D’où vient la structure mathématique de l’énergie ? Les lois physiques, chimiques, biologiques, sans parler du cerveau humain : sortent-ils du néant... comme par accident ? Et comment expliquer l’amour et le miracle de la beauté ?

Le Créateur ne nous a pas laissés sans lumière. Il parle par sa création, mais aussi dans le livre qui porte sa signature, la Bible, dont la première page suffit à prouver l’authenticité de son message. Alors, s’obstiner à attribuer au hasard les données de ce premier document, écrites dans un ordre logique accepté par les autorités scientifiques, c’est refuser l’évidence, et suivre, non plus sa raison, mais les inhibitions et les préjugés dont on n’arrive plus à se défaire.

Trouver du premier coup et sans faute une chance sur 25 000 000 000 000 000 000 000 000, savez-vous ce que cela représente ?

Alors, hasard ou intelligence ?

 

RALPH SHALLIS

 

L’ABAISSEMENT DU SEIGNEUR

 

      « Personne n’est monté au ciel, sinon celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme qui est dans le ciel. Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, de même il faut que le Fils de l’homme soit élevé, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. » Jn 3:13-15

 

   Le grand Dieu créateur ne s’est pas imposé dans sa création. Il a laissé à l’homme la liberté de lui obéir ou non. Mais celui-ci a désobéi. Dès lors, le péché l’éloigne de Dieu et nécessite pour son salut la venue de Jésus dans le monde.

 

   Devant la déchéance de l’homme, Dieu se fait homme dans la personne de Jésus. Il vient du ciel parler à l’humanité du Dieu de grâce et de vérité. Durant toute sa vie sur terre, il ne cessera pas de révéler Dieu par son comportement, ses actes et son enseignement. Nul autre que lui ne pouvait le faire, car il venait du ciel. Pourtant cette révélation de la vérité n’a pas été reçue dans le monde.

 

   Mais pour sauver la créature perdue, il fallait plus que son enseignement. La justice divine, bafouée par les péchés répétés de l’homme, nécessitait la mort de Jésus sur la croix. Jésus, Fils de Dieu devenu homme, devait subir la malédiction de Dieu à notre place, « car celui qui est pendu est malédiction de Dieu » (De 21:23). Jésus lui-même s’est comparé au serpent, animal maudit, fixé sur une perche dans le désert (No 21:8). La perche évoque la croix sur laquelle Jésus fut placé. Il était sans péché et n’aurait jamais dû être puni, mais il s’abaissa jusqu’à prendre notre place et subir le jugement que nous méritions. Maintenant l’homme n’a qu’à jeter un regard de foi sur Jésus pour trouver la délivrance de sa culpabilité et du jugement, et obtenir la vie éternelle.

 

   Ces faits nous permettent de comprendre un peu ce qu’est le péché aux yeux de Dieu, mais aussi ils nous remplissent d’adoration devant l’amour qu’il a pour sa créature : « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jn 3:16).

jeudi 17 septembre 2020

ÉVANGELISER

 


 

      « Il fallait …  que la repentance et la rémission des péchés fussent prêchées en son nom à toutes les nations … »  Lu 24:47

 

      « Si j’évangélise,  … c’est une nécessité qui m’est imposée. »  1Co 9:16

 

   Si le Seigneur nous laisse sur la terre après notre conversion, c’est, en particulier, qu’il veut que nous témoignions autour de nous des grandes choses qu’il a faites à notre égard.

 

   Il attend de ses rachetés qu’ils soient des luminaires, brillant devant les hommes, afin que ceux qui sont encore dans les ténèbres viennent aussi à « sa merveilleuse lumière » (1Pi 2:9).

 

   Toute l’œuvre que Christ a accomplie dans le monde depuis la Pentecôte, l’a été par le moyen des siens, agissant par la puissance du Saint Esprit. Est-ce honnête de dire que nous ne sommes pas indispensables pour l’œuvre de Dieu alors que nous lisons : « Comment croiront-ils si quelqu’un ne leur prêche ? »

 

   Le Seigneur veut nous faire participer à son œuvre et nous donner toutes les ressources nécessaires pour cela. Qui donc oserait dire comme le fils de la parabole à qui son père demande d’aller travailler dans son champ : « je n’irai pas » ? Or le Seigneur a expressément dit après sa résurrection : « Comme le Père m’a envoyé, moi aussi je vous envoie ». Ne soyons pas comme Jonas qui commença par refuser d’accomplir la mission qui lui était confiée.

 

   Nous faut-il attendre pour évangéliser que de grandes foules soient réunies devant nous ? En aucune manière ! C’est aujourd’hui que nous sommes appelés à parler de la bonne nouvelle dans nos entretiens avec nos voisins, avec nos collègues de travail, avec ceux que nous côtoyons au cours de la journée.

 

   Souvenons-nous de notre responsabilité vis-à-vis d’eux : « ce jour est un jour de bonnes nouvelles… », disaient les lépreux, « si nous attendons …  l’iniquité nous trouvera » (2R 7:9). Demain, il sera peut-être trop tard pour amener l’un d’eux au Sauveur !

 

   Commençons par être fidèles dans les petites choses et le Seigneur nous confiera les grandes. Nous pouvons demander et rechercher le don d’évangéliste, mais ce qui importe avant tout, c’est d’avoir un cœur rempli de Christ et qui déborde de faire connaître à tous le bonheur de l’avoir pour Sauveur et Seigneur.

 

(Plaire au Seigneur)

TON CŒUR

        « Garde ton cœur plus que tout ce que l’on garde, car de lui sont les issues de la vie… » Pr 4:23         « Mon fils, donne-moi ...