mercredi 22 décembre 2021

La canne traditionnelle de Noël





La canne traditionnelle de Noël, rouge et blanche à saveur de menthe, est un bonbon apprécié par tous au temps des fêtes.

 Alors que pourrait-elle représenter ?

 On dit que la canne en bonbon de Noël serait originaire des États-Unis. Un confiseur qui habitait dans l'état de l'Indiana voulait faire une confiserie qui serait un peu comme un témoignage à Jésus.


Il décida  donc de fabriquer des cannes avec différents symboles représentant le Christ.

La dureté de la confiserie symbolisait le Roc solide qu'est le Christ.
Le confiseur décida aussi de modeler le bonbon en forme de "J"

"J"pour représenter le précieux nom de notre Sauveur, Jésus.
Sa forme rappelle aussi la canne du Bon Pasteur allant chercher ses brebis.

Trouvant que la friandise manquait cependant de couleur et d'originalité,    le confiseur décida de lui ajouter des rayures rouges. Il utilisa 3 petites rayures pour représenter les plaies de  la flagellation de Jésus.

 

On raconte aussi que la canne de Noël daterait du siècle dernier et était donnée  en récompense aux enfants qui se comportaient bien à l'église.
Or, avec les années, l'histoire de la "Canne de Noël" fut vite oubliée et la friandise n'est maintenant bien souvent qu'une décoration et on la retrouve partout à Noël.

Pourtant, elle a toute une signification et maintenant ... vous savez!
Vous ne dégusterez plus jamais une délicieuse canne en bonbon de Noël sans vous rappeler son histoire! 

 

Toutefois, chaque fois que nous voyons une canne de Noël, rappelons-nous que Jésus, le Fils de Dieu, est mort sur la croix. Ayant versé son sang, il est le bon Berger qui cherche les brebis perdues. En mourant sur la croix et en ressuscitant d’entre les morts, il a pris nos péchés sur lui "car L'Éternel a fait retomber sur lui les fautes de nous tous" (Ésaie 53.6) et, Jésus est, pour ceux qui croient en Lui, le seul pont entre Dieu et les hommes.En effet, 1 Tmothée 2 v.5., il est écrit "Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme".

 

 

 

lundi 20 décembre 2021

SAUVEUR, CHRIST ET SEIGNEUR

 



      « Alors un ange du Seigneur se trouva avec eux ; la gloire du Seigneur resplendit autour d’eux, et ils furent saisis d’une grande peur. L’ange leur dit : N’ayez pas peur, car voici, je vous annonce une bonne nouvelle, un grand sujet de joie, qui sera pour tout le peuple : Aujourd’hui, dans la cité de David, vous est né un sauveur, qui est le Christ, le Seigneur. » Lu 2:9-11

 

   Pour les bergers près de Bethléem, la journée avait commencé et s’était achevée comme toutes les autres. Ils avaient rassemblé leurs troupeaux pour la nuit et attendaient le jour suivant.

 

   Soudainement le ciel visite la terre. La gloire du Seigneur illumine la nuit et l’hymne céleste éclate dans des oreilles humaines, comme si les anges n’attendaient que ce signal si longtemps retenu : « Gloire à Dieu dans les lieux très hauts ; et sur la terre, paix ; et bon plaisir dans les hommes ! ». La triple annonce prophétique trouve enfin son accomplissement : « Aujourd’hui, dans la cité de David, vous est né un sauveur, qui est le Christ, le Seigneur ».

 

   Le Dieu d’éternité entre dans le temps, Emmanuel, « Dieu avec nous », vient habiter avec les hommes. Cet événement extraordinaire prend place au milieu de la pauvreté, de la nuit, du rejet. Celui qui habitait le ciel de toute éternité devient un bébé dans les bras d’une mère humaine pour qui il n’y avait pas de place à Bethléem. Elle doit le coucher dans une mangeoire pour animaux.

 

   « Je vous annonce une bonne nouvelle », je vous « évangélise » une grande joie, dit l’ange du Seigneur. Cette grande joie, la joie du salut, est destinée par Dieu à tout le peuple : non seulement à quelques bergers, mais au peuple d’Israël d’abord, et au peuple de Dieu ensuite, issu de toutes les nations.

 

   Un « Sauveur », voilà le premier mot du message de l’ange, le sujet de la grande joie qu’il annonce.

 

   Le « Christ », le Messie, l’Oint de Dieu qu’attendaient tous les Israélites pieux.

 

   Le « Seigneur », à qui tout homme doit se soumettre et que chacun devra reconnaître comme tel un jour.

 

   Quel aboutissement à l’annonce de « la bonne nouvelle à Abraham : En toi seront bénies toutes les nations » (Ga 3:8 Ge 12:3), faite 19 siècles plus tôt !

 

   L’hymne cesse, la nuit retombe, les bergers restent seuls avec un message de salut dans le cœur, message qui retentit encore aujourd’hui.

 

 


TON CŒUR

        « Garde ton cœur plus que tout ce que l’on garde, car de lui sont les issues de la vie… » Pr 4:23         « Mon fils, donne-moi ...